Cette stratégie, résultant d'une collaboration étroite entre les secteurs public et privé, vise à propulser le Maroc dans l'ère numérique avec un double objectif : la digitalisation des services publics et la stimulation de l'économie numérique pour développer des solutions innovantes et créer des emplois.
Akhannouch a souligné l'importance de la formation qualitative et quantitative des jeunes talents pour accompagner cette transition. En 2023, le Maroc a signé un accord visant à tripler le nombre de diplômés en digitalisation d'ici 2027.
La transition numérique est perçue non pas comme un luxe mais comme un catalyseur essentiel pour renforcer la coopération entre les pays africains. Elle promet de répondre aux défis du continent, de promouvoir le développement durable et de favoriser l'intégration africaine.
Le chef du gouvernement a également mis en avant le rôle de Gitex Africa en tant que plateforme clé pour positionner l'Afrique en tant que force majeure dans le domaine numérique.
La digitalisation est envisagée comme un moteur d'innovation, stimulant l'entrepreneuriat et la création d'emplois à travers des concepts tels que les hackathons et les start-ups numériques. De plus, elle est vue comme un facteur clé pour l'intégration des marchés financiers africains grâce à la fintech, avec un impact significatif sur le commerce intra-africain.
Ce plan ambitieux promet de transformer non seulement les infrastructures numériques mais aussi d'insuffler une nouvelle dynamique économique et sociale au Maroc et au-delà.
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