Dans sa question orale adressée à la ministre de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, Ghita Mezzour, Atrakin met en avant le fait que ces applications rivalisent pour attirer un public plus large en utilisant des pratiques et des comportements qualifiés de "criminels" selon les lois en vigueur. Parmi ces comportements, elle cite la mendicité, le harcèlement, le commerce illégal et même l'exercice illégal de la médecine. Selon Atrakin, ces activités, bien qu'illégales dans la réalité, bénéficient d'une impunité dans le monde virtuel, créant ainsi une situation paradoxale.
L'élue du PAM souligne l'urgence d'intervenir pour protéger les utilisateurs, en particulier les mineurs, exposés à des risques de manipulation, d'exploitation et de cybercriminalité. Elle appelle à des mesures légales strictes contre ceux qui utilisent les réseaux sociaux pour commettre des infractions ou en faire leur source de revenus.
Le débat soulève la question cruciale de l'application rigoureuse de la loi contre les utilisateurs de médias sociaux enfreignant les règles. Les appels à des mesures sévères et à des sanctions légales contre ceux compromettant la sécurité en ligne se multiplient.
Alors que le débat se poursuit, l'avenir de TikTok au Maroc demeure incertain. Les appels à l'interdiction de la plateforme s'intensifient, mettant en lumière l'urgence de réglementer les médias sociaux pour garantir la sécurité des utilisateurs, en particulier la jeunesse marocaine. Les discussions actuelles suggèrent que des actions décisives pourraient être imminentes.
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