L’Institut CDG a organisé, le mardi 22 septembre, une deuxième rencontre consacrée à l’intelligence artificielle ayant comme thème "Peut-on faire confiance à l’intelligence artificielle ?"
Ce webinaire a été animé par un panel composé de plusieurs professeurs: Rachid Guerraoui (professeur à l’Ecole Polytechnique de Lausanne), Tariq Daouda (PhD, Researchfellow - Massachusetts General Hospital, Broad Institute, Harvard Medicalschool), Lê Nguyên Hoang (chef de projet e-learning à l’Ecole Polytechnique de Lausanne), Karim Baina (rofesseur à l’ENSIAS, Université Mohammed V de Rabat, Expert en Big Data Analytics ), Yassir Boux (responsable technique et pédagogique à l’Ecole 1337) et Ghita Mezzour (professeur associé d’informatique à l’UIR et fondatrice de la start-up Data in Seconds -DASEC-).
Pour les panélistes, la généralisation de l’accès aux machines (ordinateurs, téléphones portables, etc.) et le développement de l’économie de l’information ont bouleversé le quotidien des citoyens de par le monde. L’intelligence artificielle (IA) s’est graduellement immiscée dans la vie de tous les jours (suggestions du clavier sur les smart phones, chat bots, etc.) sans que les consommateurs aient les moyens d’apprécier la portée de l’utilisation croissance de cette technologie.
En effet, l’IA est en train de transformer radicalement de nombreux secteurs d’activité, rendant certains métiers obsolètes et créant de nouvelles niches à investir. Son utilisation croissante poussera les entreprises à revoir leur mode de management, leur approche en matière de RH et relation client, etc.
Ces transformations en cours nécessitent de multiplier les efforts de vulgarisation auprès des consommateurs afin de démystifier l’IA et d’apaiser les craintes qu’elle est susceptible de générer, mais aussi et surtout de préparer les jeunes et les moins jeunes aux mutations qu’elle va engendrer, notamment à travers la révision des modèles de formation proposés aux nouvelles générations.
On retiendra en résumé de ce webinaire riche et passionnant au demeurant, que l’IA est cette «capacité d’un logarithme à faire exécuter ou résoudre par une machine un problème que les humains pensaient résoudre » (dixit Guerraoui, que ce logarithme « traite et retourne l’information » (Lê Nguyën Hoang), « un outil de travail comme un autre qui permet aux ordinateurs de suppléer l’homme dans certaines tâches » (Mezzour). A un autre niveau elles sont deux IA « celle dite faible ou spécialisée qui reproduit des fonctions cognitives de l’intelligence (perception, raisonnement apprentissage…) dans un domaine spécialisée et celle dite forte dans l’absolu peut remplacer l’étendue de l’intelligence humaine et qui reste encore du domaine de la recherche voire de la fiction » explique Karim Baïna et rejoint en cela par Tarik Daouda et Yassir Boux.
Faut-il craindre l’IA ? oui pour les « bêtises des algorithmes » (Guerraoui) qui y voit la fatalité de deux crashes d’avions mais pour autant, ceux qui la délaisseront en payeront les conséquences et resteraient à la traîne. Tous s’accordent cependant à encourager la recherche dans ce domaine qui est peu coûteuse par rapport à d’autres et qui peut rapporter gros pour l’avenir. « Les plus grosses entreprises du monde sont du domaine comme GAFA les grosses boites industrielles sont loin derrière.
Le Royaume devrait s’y mettre pour ses belles capacités et potentialités « il y a une vague numérique et si on ne la prend pas si on n’y surfe pas on sera dépassé. Le pays a besoin d’ingénieurs techniciens, développeurs, novateurs etc…» (Guerraoui) . Pour ce qui est de l’emploi « l’IA peut en créer comme elle peut en enlever » (Daouada) c’est l’évolution à chaque fois qu’une nouvelle technologie apparaît c’est ainsi. Oui ce mardi après-midi on a assisté à un ce séminaire virtuel autant enrichissant qu’intéressant.
Pour les panélistes, la généralisation de l’accès aux machines (ordinateurs, téléphones portables, etc.) et le développement de l’économie de l’information ont bouleversé le quotidien des citoyens de par le monde. L’intelligence artificielle (IA) s’est graduellement immiscée dans la vie de tous les jours (suggestions du clavier sur les smart phones, chat bots, etc.) sans que les consommateurs aient les moyens d’apprécier la portée de l’utilisation croissance de cette technologie.
En effet, l’IA est en train de transformer radicalement de nombreux secteurs d’activité, rendant certains métiers obsolètes et créant de nouvelles niches à investir. Son utilisation croissante poussera les entreprises à revoir leur mode de management, leur approche en matière de RH et relation client, etc.
Ces transformations en cours nécessitent de multiplier les efforts de vulgarisation auprès des consommateurs afin de démystifier l’IA et d’apaiser les craintes qu’elle est susceptible de générer, mais aussi et surtout de préparer les jeunes et les moins jeunes aux mutations qu’elle va engendrer, notamment à travers la révision des modèles de formation proposés aux nouvelles générations.
On retiendra en résumé de ce webinaire riche et passionnant au demeurant, que l’IA est cette «capacité d’un logarithme à faire exécuter ou résoudre par une machine un problème que les humains pensaient résoudre » (dixit Guerraoui, que ce logarithme « traite et retourne l’information » (Lê Nguyën Hoang), « un outil de travail comme un autre qui permet aux ordinateurs de suppléer l’homme dans certaines tâches » (Mezzour). A un autre niveau elles sont deux IA « celle dite faible ou spécialisée qui reproduit des fonctions cognitives de l’intelligence (perception, raisonnement apprentissage…) dans un domaine spécialisée et celle dite forte dans l’absolu peut remplacer l’étendue de l’intelligence humaine et qui reste encore du domaine de la recherche voire de la fiction » explique Karim Baïna et rejoint en cela par Tarik Daouda et Yassir Boux.
Faut-il craindre l’IA ? oui pour les « bêtises des algorithmes » (Guerraoui) qui y voit la fatalité de deux crashes d’avions mais pour autant, ceux qui la délaisseront en payeront les conséquences et resteraient à la traîne. Tous s’accordent cependant à encourager la recherche dans ce domaine qui est peu coûteuse par rapport à d’autres et qui peut rapporter gros pour l’avenir. « Les plus grosses entreprises du monde sont du domaine comme GAFA les grosses boites industrielles sont loin derrière.
Le Royaume devrait s’y mettre pour ses belles capacités et potentialités « il y a une vague numérique et si on ne la prend pas si on n’y surfe pas on sera dépassé. Le pays a besoin d’ingénieurs techniciens, développeurs, novateurs etc…» (Guerraoui) . Pour ce qui est de l’emploi « l’IA peut en créer comme elle peut en enlever » (Daouada) c’est l’évolution à chaque fois qu’une nouvelle technologie apparaît c’est ainsi. Oui ce mardi après-midi on a assisté à un ce séminaire virtuel autant enrichissant qu’intéressant.
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